Heber Hickey
Messages : 1 Date d'inscription : 13/09/2016 Localisation : Nagatenjouki
| Sujet: Heber Hickey, professeur occultiste Mar 13 Sep - 1:12 | |
| Heber Hickey « Un mage ne vit jamais vieux par hasard»
IDENTITÉ ♣ Prénom : Éibhear (Heber) ♣ Nom : Ó hícidhe (Hickey) ♣ Âge : Plus de cent ans (Une trentaine d'années physiquement) ♣ Sexe : Masculin ♣ Nationalité : Américain ♣ Type de Mage : Ritualiste ♣ Organisation Magique : Aube Dorée (Anciennement). Actuellement aucune.
PHYSIQUE Blond, 1m90 et visiblement occidental, le professeur Hickey offre un spectacle peu commun, mais bien connu au sein de Dangai. La plupart du temps vêtu d'une simple chemise et d'un pantalon étrangement démodé, il est néanmoins fortement reconnaissable par sa bonne humeur perpétuelle. Toujours bien coiffé et toujours souriant, il est rare de ne pas le voir en grande discussion avec des élèves ou d'autres professeurs tout en préparant son prochain cours. Il semblerait également que les étudiantes le trouvent particulièrement beau, n'ayant pas quitté le top 3 des listes et sondages secrets du « plus beau garçon de l'établissement ». Son air de jeune enseignant tout juste titularisé perpétuel et son visage anguleux aux grand yeux rieurs y sont sans doute pour quelque chose.
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PERSONNALITÉ Très populaire par rapport au peu d'étudiants qui se présentent à ses classes, il est toujours à l'écoute de ses élèves et ne rechigne jamais à leur apporter conseils et encouragement. Perpétuellement de bonne humeur, le professeur est très ouvert à la conversation et même ses collègues les plus revêches ont bien du mal à trouver une raison de lui faire grise mine, comme si son énergie et son sourire étaient contagieux. Passionné d'histoire, il occupe le mal aimé poste de professeur en sciences humaines à Dangai, ainsi qu'un cours de théologie de haut niveau par semaine à l'université Takasaki.
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PETITE INTERVIEW ! ▪ Parle-nous un peu de ta famille... Ma famille est originaire de l'ancienne noblesse irlandaise, mais ces titres n'ont plus aucune valeur depuis que mes arrières-grand-parents ont émigré aux Etats-Unis. Ma famille vivait à Arkham, dans le Massachusetts, mais ils doivent tous être morts désormais.
▪ As-tu déjà commis des délits ? Bien sûr que non voyons.
▪ Es-tu ou étais-tu poursuivis ? Non plus, bien heureusement. Ah, quoique. Y'a bien eu cette histoire avec les douanes égyptiennes qui...hum ? Non, non, oubliez ce que je viens de dire.
▪ Quelles sont tes qualités et tes défauts ? Et bien, je fais de mon mieux pour être à l'écoute des élèves tout en étant, autant que faire se peu, un modèle pour leur éducation. Après tout, ces jeunes gens sont sous ma responsabilité, et je ferais tout ce qui est en mon pouvoir pour leur apporter mon soutient. Quand à mes défauts, je suppose que j'ai tendance à voir les choses sous un angle un peu daté, beaucoup des dernières technologies me laissent pour le moins perplexe.
▪ Dis-nous ce que tu aimes et ce que tu détestes ? Parmi ce que j'apprécie le plus, et bien mes élèves pour commencer, bien entendu. Mon travail est formidable et, bien que je sois conscient de la faible population assistant à mes cours je fais de mon mieux pour que ceux qui viennent en ressortent avec quelque chose de plus. Je déteste les injustices et je serais toujours le premier à m'opposer à une sanction exagérée ou non méritée. Je fais également de mon mieux pour promouvoir l'ouverture d'esprit et la tolérance de mes élèves.
▪ Des phobies ? Aucune.
▪ Des Allergies ou autres choses dans le genre ? Aucune non plus.
▪ Des antécédents médicaux ? Rien de notable.
| VOTRE MAGIE ▪ Nom de mage : Scitis419 « La connaissance du passé sera le salut du futur » ▪ Votre arme magique : Aucune. ▪ Type(s) de magie : Magie de l'Aube Dorée, Rituels antiques détournés. ▪ Description de vos sorts : Grimoire mineur : - Spoiler:
Sortilège de dissimulation (Aube Dorée) Cette variante de sortilège de dissimulation est propre aux membres de l'ordre de l'Aube Dorée originelle et permet, par une rapide formule et quelques signes de mains, d'empêcher quiconque d'espionner le lanceur de sort. Les caméras et micros ne captent que du bruit blanc, les curieux n'entendent rien, les plus courageux essayant de lire sur les lèvres perdent le sorcier de vue et même les rituels de clairvoyance sont brouillés jusqu'à ce que le sorcier décide de relâcher le sort.
Legs de Babel (Inconnue, sans doute proto-égyptien) Rituel bricolé via des bribes de textes supposément en langue adamique, sans doute le premier code secret occulte desquels tous les suivants dérivèrent, des peintures cérémonielles des yeux et de la bouche étaient censée «Ouvrir les portes d'un savoir infini ». Après plusieurs tests, il semblerait que le savoir infini en question soit tout simplement la capacité à lire, comprendre et parler n'importe quelle langue. Optant pour une solution permanente et relativement discrète, le professeur s'est fait tatouer les symboles nécessaires sur l'intérieur des lèvres et derrière l'oreille, lui permettant de parler et comprendre n'importe quelle langue. Un peu d'eye-liner suffisant largement à pratiquer le rituel pour les yeux si le besoin s'en faisait sentir.
Poudre d'Ibn-Ghazi (Egyptienne) Poussière de matière organique momifiée, amarante, feuille de lierre et sel fin. Pilez le tout à la lumière de Saturne (entre 2 et 3 heures du matin) et infusez une petite quantité de mana via quelques signes magiques, et pour finir emballez le tout dans un contenant opaque occultant toute lumière. Une fois projetée dans l'air, la poudre fera apparaître aux yeux de tous phénomènes surnaturels invisibles, lignes de pouvoir et courants de mana. Le temps qu'elle passe en suspension dépends fortement de la ventilation des lieux, mais son infusion magique lui donne une inertie surnaturelle lui permettant de rester une trentaine de secondes même dans la plus violente des tempêtes. Elle aura également tendance à se faire emporter par les courants de magie en direction de leur origine.
Grimoire majeur : - Spoiler:
Avalon, l'île des pommes « En cette île de félicité, nul mal ne peut m'atteindre. En ce lieu parfait, mon âme repose. Par la grâce des neufs, mon cœur est en paix. Ynys Auallach, agor eich drysau ! »
Ce rituel est à l'origine des sortilèges de dissimulation et de détournement d'attention, mais puise ses racines bien plus profondément, dans les brumes de la légende arthurienne. Par la création de trois points d'ancrage (Emain Ablach , Caer Caradawg et Bangor), le mage peut isoler une zone dans une poche dimensionnelle située entre le monde des vivants et celui des morts. Une fois cet espace crée, personne ne peut y entrer ou en sortir sans un effort de volonté du lanceur ou une puissance magique d'ampleur divine. Celui-ci ne peut quitter la zone sous peine de voir le sortilège s'effacer et rendre le lieu impropre à tout rituel du même type le temps que les énergies magiques résiduelles se soient dissipée. Les perceptions en Avalon tendent à être distordues en un reflet idéalisé de la réalité, alors que tout au sein du sanctuaire se voit devenir éternel, c'est à dire qu'aucun changement d'état ne peut se produire tant que le sors est en place. Bien que les êtres vivants puissent s'y mouvoir, leur condition ne peut être modifiée que cela soit en bien ou en mal. Cela implique une stase des blessures, un maintient du niveau d'énergie et de mana et une disparition des besoins vitaux. Dans toute la zone, l'environnement tend à se modifier. Un légère brume flotte dans les airs alors que fleurs, arbres fruitiers et petit animaux surgissent ça et là. Quelques notes de musiques et l'écho distant de rires sont les seuls indices de la présence des neuf sœurs censées habiter l'île. La mise en place du rituel nécessite que le mage définisse trois points d'ancrage qui servirons de cœur au rituel, permettant aux lieux « d'emprunter » un bout de l'île originelle pour un temps. S'ils venaient à être détruits, le sanctuaire s’effondrerait. La zone doit également disposer de barrières comme des murs ou un cours d'eau et le ritualiste doit se focaliser sur un temple représentant le futur sanctuaire (celui-ci devient par la suite relativement inutile, les effets du rituel empêchant toute modification).
Shambhala, portes de l'Agharta L'invocation consiste en une répétition de mantras bouddhistes zen
Le temple nécessaire au lancement de ce rituel se présente comme un mandala circulaire, coupé du reste de son environnement. Divisé en huit régions organisées autour d'un cœur central représentant le siège du roi de Shambhal. Chacune de ces régions doit être dotée d'un artefact représentant sa fonction, sauf le Centre, qui doit être séparé en cinq zones. Le Sud est un parc de bois de santal, l 'Ouest un lac de lotus blancs, l'Est est un lac limpide, le Nord un palais resplendissant et le centre un Mandala tridimensionnel servant de focus principal à l'incantation. Chacune des huit région peuvent contenir jusqu'à 960 millions de symboles ésotériques représentants les villages du royaume. Plus le nombre de symboles est élevé, plus le sortilège sera précis. Ce temple, combiné à une récitation de mantra intensive de plusieurs minutes permet au corps d'entrer dans un état de transe méditative faisant de lui un Bouddha tant que l'incantation n'est pas interrompue. Lié aux mythes du Tantra Kalachakra, le version la plus commune ne sert qu'à obtenir le don d'ubiquité du Bouddha de la légende. En pratique, cela signifie que le ritualiste apparaîtra dans le lieu de son choix en chair et en os alors que son corps est au même instant en prière méditative. Ces corps sont totalement réels et, en tout état de cause, il s'agit effectivement d'un dédoublement total. Mais un lien unis encore les deux corps, qui n'en sont virtuellement qu'un seul, ce qui rends tout changement appliqué aux deux corps à la fois. De plus, cette « téléportation » se fait par l'Agharta, la Terre Creuse, et laisse une ouverture discrète mais existante à l'endroit de l'incarnation. Il est nécessaire au ritualiste de repasser par ce portail pour réintégrer son corps en transe. Si la transe est arrêtée de force côté temple, typiquement par une puissante interférence magique, le double créé mourra sans raison apparente.
Golem, le don de la vérité « Par la volonté de l'homme et la grâce de Dieu, je t'accorde la Vérité.Ton nom est Golem. Ton attribut est la Terre. Ton corps est fait à mon image et cela est bon. Lève toi, cocon stupide, et sers ton maître jusqu'à ce que la mort te sois accordée. »
Évoqué dans l'ouvrage kabbalistique du Sefer Yezirah et supposément caché dans les pages de la Torah, le Golem est sans doute l'un des rituels les plus connus du monde, de par son utilisation historique par les communautés juives médiévales dans le but de se protéger des persécutions. Passé dans la culture commune par l'intermédiaire de nombreux auteurs de fictions, les instructions pour créer un golem sont bien heureusement plus complexes que ce qui est décrit dans le premier dictionnaire qui passe par là. Rituel long et complexe, il requiert de transformer une zone en temple représentant le jardin d’Éden contenant plantes, lumières, eau et animaux. Là, un corps sera prêt à recevoir le souffle de vie, à condition qu'il soit façonné à l'image de son créateur (il faut donc qu'il possède une partie du ritualiste, que cela soit son sang, son apparence ou certains de ses attributs principaux). Le corps ne s'animera que lorsque le mot « Vérité » (en Hébreux, Emeth) sera inscrit sur son front, et ne pourra mourir que si le premier caractère de la formule est effacé où s'il est dépossédé de l'attribut de son créateur. Doté d'une grande force et d'une endurance à toute épreuve, le golem peut subir des dégâts le rendant totalement inopérant sans mourir pour autant. Sa durabilité dépendant entièrement de son réceptacle. Le golem souffre néanmoins d'un manque de capacité d'adaptation et de remise en question personnelle. Ainsi, il poursuivra inlassablement le but fixé par son maître sans jamais faiblir, quand bien même la tâche serait devenue impossible ou le détruirait.
▪ Autre talents : Son séjour forcé sur l'île d'Avalon lui à procuré une vie incroyablement longue, conservant son apparence physique malgré les années. Il est également imbu de la magie des lieux et bien qu'il conserve tous les attributs d'un être humain les sorts de détection tendant à le confondre avec une créature magique en raison de l'énergie résiduelle dont il n'arrive pas à se débarrasser. |
HISTOIRE
Né en 1873 d'immigrés Irlandais, Heber Hickey ne fis rien de sensationnel lors des 20 premières années de sa vie. Étudiant talentueux en archéologie à l'Université Miskatonic d'Arkham, il ne s'impliquait que peu dans la vie étudiante et passait la plupart de son temps à la bibliothèque. Il fut l'un des plus jeunes professeurs de l'université à être titularisé, à seulement 25 ans, mais même ce fait d'arme ne fut rien de plus qu'un potin universitaire de plus, sans réelles conséquences. Sa vie pris un tournant en 1900 lorsqu'il rencontra un jeune britannique en voyage, fraîchement émoulu du Trinity College de Cambridge, se présentant sous le nom de Crowley. Son incroyable charisme fascine Heber autant que ses subtiles insinuations sur les liens de leurs université respectives avec un monde occulte secret. Le jeune homme se contenta de demander à consulter un certain nombre de livres entreposés à la bibliothèque, et de partir lorsqu'il se heurta au refus ferme du bibliothécaire en charge des précieux tomes. Intrigué autant par l'étrange jeune homme que par le comportement du bibliothécaire, Heber déjoua la vigilance de celui-ci pour consulter par lui-même les tomes anciens réclamés par le visiteur. Les livres anciens qu'il y trouva lui firent l'effet d'un choc. Certains le laissent, frissonnant et pantelant, d'autre tremblant de tout son corps face aux étranges secrets qui se révélaient à lui. Heber aurait pu ignorer toute cette connaissance, il aurait pu décider de considérer le contenu de ces vieux livres gribouillés par la main d'un quelconque occultiste comme les élucubrations de fous fanatiques et paranoïaques. Mais Heber tomba sur un grimoire originel. Il ne se réveilla que plusieurs mois plus tard, alors que tous les médecins le pensaient condamné. L'exposition au grimoire avait manqué de le tuer, mais elle avait surtout attiré l'attention des occultistes d'Arkham, qui le contactèrent peu de temps après sa sortie de l’hôpital. Il découvrit que le bibliothécaire, mais également une poignée d'autres professeurs et élèves de l'académie, étaient impliqués dans une société secrète occulte, étudiant la magie et ses secrets. Ils lui proposèrent une place parmis eux ainsi qu'un enseignement, mais l'archéologue refusa poliment, tout en acceptant de garder le secret de leur existence. Heber se sentait obsédé par une seule idée, retrouver Crowley et tirer au clair son implication dans ce nouveau monde d'occultisme et de cabales qui se dévoilait devant lui. Après de longues recherches il retrouva sa cible qui préparait une expédition en vue d'escalader le K2. L'expédition fut un échec, mais Heber en profita pour faire connaissance avec Aleister Crowley. Mage, membre de l'Hermétique Ordre de l'Aube Dorée, alpiniste, explorateur, astrologue. Crowley était tout ça et plus à la fois. Reconnaissant les connaissances occultes de Heber, Aleister se proposa de l'initier à l'Ordre, ce qu'il s'empressa d'accepter.
Heber devint un membre de l'Aube Dorée. Apprenant rapidement quelques rituels de base, il ne revit que très peu Aleister pendant deux ans, jusqu'en 1904. Crowley avait pris du galon très rapidement et, sa femme ayant eu une vision, Heber fut dépêché en Egypte en compagnie d'un membre de grade supérieur pour assister Aleister. Leur mission terminée, Heber décida de rester au Caire pour participer aux recherches en Égyptologie, encore très populaires à l'époque. En 1905, Aleister Crowley et de nombreux membres de l'Aube Dorée partent en expédition dans l'Himalaya, dans le but secret de trouver l'emplacement de la légendaire cité de Shambhala et des puissants mystères ésotériques supposés y reposer. Heber n'y participe pas, tout à ses recherches en Égypte, échappant au sort peu enviable de l'expédition. De la quinzaine d'occultistes partis, seul Aleister revint vivant. En Mai 1906, Heber retrouve d'anciennes constructions proto-égyptiennes enterrées dans le désert. Il y découvre les restes de ce qu'il pense être un des premier groupe organisé de mages, ainsi que les témoignages d'un ancien rituel supposé conférer le savoir absolu. Il décide d'étudier en profondeur cette découverte. Ce n'est pas avant 1910, après de longues expérimentations plus ou moins dangereuses, que l'archéologue ne réussit finalement à reproduire le rituel. Fort de cette nouvelle connaissance, il rentre en vitesse à Londres pour étudier les nombreux ouvrages indéchiffrés qui y sont entreposés. Il repartira dans la foulée pour une expédition vers l'emplacement présumé d'Avalon, un autre lieu mythique. Encore échaudés par le fiasco de l'expédition dans l'Himalaya, aucun membre de l'Ordre n'accepte de le rejoindre dans son aventure. Grand bien leur en pris, car le petit bateau de pèche affrété par l'archéologue s'abîma lors d'une violente tempête durant lequel tout l'équipage disparu. Heber se réveilla sur une côte inconnue, aux verges abondants et aux animaux ne craignant pas l'homme. Accueilli par neuf jeunes filles, il appris qu'il s'était échoué sur Avalon, l'île bienheureuse, et fut invité à prendre ses aises, car les mortels ne peuvent que difficilement quitter ce royaume enchanté. Se faisant une raison, l'occultiste décida de mettre son temps à disposition pour étudier l'île, puis ses habitants, puis la magie en général, puis la théorie des idoles, puis les systèmes de rituels, pour finir par fixer son attention sur tout ce qui pouvait lui amener un tant sois peu de stimulation intellectuelle, son seul interlocuteur étant un Roi Arthur divaguant la moitié du temps à cause de ses blessures et de petits animaux, les neuf sœurs ne se montrant jamais. Dix ans plus tard, pour une raison encore inconnue, Heber trouva une barque sur la plage. Sans trop réfléchir il monta dedans et se posa pied quelques heures plus tard sur la côte britannique, sous le regard éberlué des vacanciers. Les premiers jours d'Heber dans ce nouveau monde furent chaotiques, mais il fini par comprendre que ce qu'il avait ressenti comme une dizaine d'années à tout casser était en réalité près de cent ans. Soudainement débarqué en 2010, l'occultiste s'adapta étonnamment bien pour quelqu'un du siècle passé. Seule la disparition de l'Aube Dorée et la mort d'Aleister le troublèrent un moment. Il fit quelques petits boulots tout en rattrapant son retard en archéologie et en histoire, passa quelques années à mettre en pratique ses théories sur les rituels magiques et créa un puissant sort en se basant sur son séjour sur l'ïle d'Avalon. Mais Heber n'allais pas s'arrêter là. Galvanisé par la découverte d'un lieu mythique, il décida de retrouver les traces de l'expédition perdue dans l'Himalaya pour la poursuivre, armé d'équipement moderne. Au prix de quelques années de recherches, le mage finit par trouver la mythique Shambhala, que ses collègues avaient échoués à atteindre. Il se contenta néanmoins d'étudier la ville, son agencement et ses principes mystiques pour créer l'ébauche d'un sort, puis se résolu à sceller le passage qu'il avait utilisé, considérant qu'un joyaux tel que celui-ci était mieux enterré qu'au centre d'une guerre d'influence entre les nombreuses cabales recherchant ses secrets.
C'est lors de son retour à la civilisation qu'il entendit parler pour la première fois de la Cité Académique. Curieux, il décida d'annuler son retour en Europe pour visiter ce qu'on lui décrivait comme une cité largement en avance sur le reste du monde. Quelle ne fut pas sa surprise lorsque, quelques jours à peine après son arrivée, il fut demandé par un mystérieux interlocuteur. En souvenir de leur amitié passée Aleister accorda à Heber le droit de résider dans la cité, à la condition que celui-ci n'interfère pas avec ses plans et ne prenne pas part à la guerre entre science et magie. Depuis, Heber mène une vie paisible, bien que toujours rythmée par un certain nombre de rituels magiques. Le professeur pense maintenant à passer la relève, ignorant combien de temps les effets résiduels d'Avalon le conserveront en vie. Mais, si ses hypothèses sont correctes, il à encore de nombreuses années avant que cette question ne devienne véritablement urgente.
ET VOUS ? ♣ Pseudo : Dim ♣ Âge : Dim ♣ Depuis combien de temps faites-vous du rp : Dim ♣ Présence sur 7 jours : Dim ♣ Comment avez-vous connu le forum ? Dim ♣ Mot de passe : Dim
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