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 Une pause après le travail [PV Inari Mishina]

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Lena Anderson

Lena Anderson

Messages : 97
Date d'inscription : 01/07/2017

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MessageSujet: Une pause après le travail [PV Inari Mishina]   Une pause après le travail [PV Inari Mishina] EmptyDim 3 Fév - 1:57

C'était une journée classique, comme d'habitude. Bon, je sais que je commence souvent par ça, journée classique, ennui, rien de particulier, blablabla… Et vous vous doutez bien en lisant ça que je ne me suis pas amusée à écrire dans mon journal tout le déroulé d’une journée ennuyeuse de A à Z comme si c’était le journal intime d’une ado qui trouvait un intérêt thérapeutique à l’exercice de l’écriture de ses journées. Vous vous en doutez et vous avez bien raison, cette journée avait commencé de façon banale et classique, bien que ce que je considérais comme banal avait bien changé depuis quelques temps, mais elle avait de toute façon fini par trouver un virage inattendu et plutôt dangereux, comme beaucoup de mes journées à cette époque-là et pour la même raison.

J’étais allée à la fac ce jour-là, suivre des cours plus passionnants les uns que les autres vous vous doutez bien. Je sais pas trop pourquoi je continuais d’y aller, j’étais d’ors et déjà dans la galère même si ça n’avait pas pris des proportions particulièrement énormes et il aurait été bien plus simple d’abandonner certaines de mes activités au profit de mes enquêtes. En plus ça m’aurait potentiellement isolée un peu de l’extérieur et m’aurait rendue plus difficile à suivre mais bon, que voulez-vous, le quotidien a la vie dure... La journée avait été longue, super longue même. Beaucoup auraient pensé que le fait que je doive aller travailler en tant que serveuse après une telle journée m’aurait plus agacée qu’autre chose mais il n’en était rien. J’adorais ce travail et c’était une parenthèse plus que bienvenue au milieu de tout le reste.

Une fois au Cat’s, j’allai me changer pour mettre la tenue réglementaire pour les serveuses du restaurant. Rien de bien extravagant, les filles avaient le choix entre une jupe longue ou un pantalon avec un haut un peu chic, le genre qu’on voit dans les restaurants de milieu de gamme habituels. Le service n’était pas terminé lorsque je suis arrivée sur place et je laissai celui-ci arriver à son terme avant de partir en salle pour commencer à prendre les commandes, histoire de ne pas chambouler l’organisation du personnel en commençant plus tôt que prévu. Il n’y avait pas tant de monde que ça pour le moment et bientôt l’happy hour allait pouvoir commencer, amenant très certainement bien plus de personnes, attirées par l’ambiance et surtout l’idée d’avoir des boissons alcoolisées pour bien moins cher que le reste de la journée.

D’ordinaire, le mardi et le jeudi sont des jours de faible fréquentation que ce soit pour les restaurants, les bars ou les commerces. Je me suis toujours dit que c’était parce que le mardi était trop tôt et que, le jeudi, les gens accusaient la fatigue du début de semaine et préféraient s’économiser pour pouvoir sortir le week end. Cela permettait au moins aux commerçants et aux serveuses que nous étions de se reposer un peu en attendant les jours de forte affluence. Enfin, ça c’était les statistiques, bizarrement cela ne concernait absolument pas le cat’s et, ce jour-là, il y avait tout autant de monde que tous les autres. Enfin pas exactement, mais plutôt que des jours de faible affluence, on devrait plutôt dire qu’il y a des jours avec beaucoup de clients et d’autres avec encore plus de clients.

Enfin bref, tout ça pour dire que je sortais fatiguée de cette longue journée. Cette fois-ci, j’étais de fermeture et, une poignée de collègues et moi-même, étions donc obligés de tout ranger et nettoyer avant de pouvoir partir. Il n’y avait jamais grand monde pour faire ça, tout au plus 2 serveurs et tout autant de personnes en cuisine et cela suffisait de toute façon largement pour tout boucler en une petite vingtaine de minutes. Une fois tout propre et rangé, je retournai dans le vestiaire pour passer mes vêtements normaux et me dirigeai la première vers l’extérieur. Saluant brièvement mes collègues, préférant ne pas m’éterniser au vu de la fatigue que je ressentais, je finis par arriver à l’extérieur. Prenant un instant pour m’étirer et regarder les étoiles, je savourai cet instant de pause avant de reprendre le cours de ma vie habituel.

- « Oh bonsoir, mademoiselle Anderson. » dit une voix masculine qui m’était étrangement familière sans que je n’arrive à me rappeler pourquoi. « Je ne vous dérange pas j’espère ? »

Sortant de mes pensées avec une légère grimace, je souris néanmoins avant de répondre à la personne si polie qui m’avait adressé la parole.

- « Euh non… Pardon mais… on se connaît ? Votre voix me dit un truc. » dis-je en plissant légèrement les yeux pour tenter de mieux voir l’homme qui me parlait.

- « Un peu, oui, on s’est rencontrés il y a peu… » répondit-il en s’avançant doucement vers moi. « Vous m’aviez transmis un message que j’ai bel et bien apporté au destinataire, j’imaginais que vous attendiez une réponse. »

- « Un message ? » Fronçant les sourcils en essayant de me souvenir, je finis par me rappeler d’où je connaissais l’homme qui se tenait face à moi. « Oh m... » dis-je en me préparant à éviter un éventuel coup venant de mon interlocuteur avant d’être interrompue par un coup me prenant sur le côté de la tête.

Il n’était bien évidemment pas venu seul, cette fois, et il avait suffisamment attiré mon attention pour qu’au moins un de ses collègues ne se glisse derrière moi sans que je ne m’en rende compte. Tombant à quatre pattes après avoir reçu le coup surprise, l’homme qui venait de me frapper vint se placer au-dessus de moi et plaça sur ma tête un genre de cagoule dépourvue de trous et serra la ficelle qui tenait l’ouverture de celle-ci autour de mon cou, emprisonnant ma tête dans le sac opaque avant de me saisir le bras et l'épaule.

L’homme qui me tenait me releva soudain, me maintenant avec une clé de bras et j’entendis soudain la voix de l’homme qui me parlait juste avant me parler à l’oreille.

- « Nous avons bien reçu votre message mais nous nous devons de vous faire à nouveau notre offre de paix. On sait parfaitement où et quand vous travaillez, où vous allez à l’école et même comment neutraliser votre si dangereux pouvoir, comprenez ? » soudain il posa sa main sur le côté de mon visage et le balança d’un coup contre le mur à côté avant qu’un genre de *clic* ne retentisse. « Je sais que vous êtes jeune mais je vais vous expliquer, ce que je pointe sur vous c’est un pistolet. Si vous tentez d’enlever cette cagoule avant d’avoir compté jusqu’à 30, je tire. Compris ? »

Hochant doucement la tête, je commençai le décompte. Les yeux fermés, j’attendis d’arriver à 30 secondes avant d’enlever le sac qui me couvrait la vue, m’asseyant contre le mur tout en portant la main à ma tête d’où s’écoulait un liquide chaud que je compris rapidement comme étant du sang. Restant là un moment, je levai à nouveau les yeux au ciel avant de souffler un simple « Putain... ».
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Inari Mishina

Inari Mishina

Messages : 17
Date d'inscription : 11/12/2018

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MessageSujet: Re: Une pause après le travail [PV Inari Mishina]   Une pause après le travail [PV Inari Mishina] EmptyMar 16 Avr - 6:54

''Finalement, ma divination était fausse.'' songea Inari Mishina tendit qu'elle était en train de finir de se changer en enfilant son manteau par-dessus sa veste de sport verte qu'elle portait pour contrer le froid nocturne de la saison.

''Qu'est-ce qui pourrait correspondre au " sombre présage " annoncé dans l'oracle...''

De telle pensée était très singulière dans cette ville où la science avait en moyenne 30 années d'avance sur le reste du monde dans tous les domaines, toutefois Inari n'était pas une simple esper ou une scientifique, il s'agissait d'une magicienne et en plus de ça, de ce qui se rapprochait le plus de ce que les légende définissaient comme une « Kitsune », une créature fantastique du folklore japonais.

La jeune femme enroula alors son écharpe tout autour de son coup tout en réfléchissant à son « horoscope » qui provenait d'un Omikuji qu'elle avait tiré ce matin ; l'un des aspects de sa magie était la divination, dont la fabrication et tirage d'Omikuji (une bande de papier sur laquelle est noté une divination ou des oracles [les prédictions ou les révélations des dieux]) faisait évidemment partie car il s'agissait d'une magie basique du shintoïsme et elle était très répandue même parmi les non initiés à la magie qui vivait et le pratiquait donc partout à travers le Japon (sauf à la cité scolaire bien sûr).

Celle du jour lui avait indiqué une journée normale vis-à-vis de la santé et la fortune mais un changement sur le plan relationnel et de la malchance sur le plan professionnel, toutefois, rien ne s'était passé de particulièrement notable qui pouvait correspondre aux prédictions écrites.

''Bah. Quoi qu'il en soit, la journée est presque finis et c'est tant mieux ! " se dit-elle finalement tout en mettant son sac en bandoulière.

Sa queue de renarde remuée un peu à la manière d'un chien content, ce qui contrasté avec son expression sérieuse qui ne laissait que peu ou presque, transparaître la moindre forme de sentiment particulier (et encore plus quand elle travaillait).

Le travail en lui-même avait donc beau être terminé, elle ne se sentirait en « repos » que lorsqu'elle serait sortie du restaurant et qu'elle aurait fini de saluer ses collègues au préalable.

Au moins, le nettoyage et le rangement avaient été très vite fait, ce qui n'était pas très surprenant vu la taille du restaurant et l'équipement made in academy city présent, il n'y avait, bien sur, pas le must du must mais le cat's eyes n'était pas à la rue pour autant et les employés étaient motivés et efficaces en plus d'être bien géré et organisé.

Sans compter que ce n'était pas une période de vacances scolaires, ce qui signifiait que les restaurants n'atteignent pas leur plus grand pic d'activité et les horaires étaient donc plutôt légers par rapport à ces périodes ou 80% de la cité pouvaient veiller aussi tard qu'il le voulait et pouvait donc venir manger au restaurant même les soirs au milieu de la semaine.

Au cat's eyes, Inari était placé en fonction du besoin du restaurant sur le coup, ce qui faisait qu'elle n'avait pas un poste fixe quand elle venait y travailler et elle n'avait donc pas eu l'occasion de rencontrer et de faire connaissance avec l'ensemble de ses collègues de travail.

Malgré tout, elle avait une forte tendance à finir par travailler en cuisine en tant que commis de cuisine même si elle avait les compétences nécessaires pour être cuisinière, cela était en grande partie dû au fait qu'elle faisait des contrats à la journée et elle venait travailler au cat's de manière occasionnelle donc elle ne connaissait pas la carte du restaurant par cœur ni complètement les habitudes de celui-ci.

Pour Inari, la découverte du cat's était une excellente aubaine puisque celui-ci avait la chance d'avoir une fréquentation irrégulière dans le bon sens du terme puisqu'il était toujours quasiment plein et encore plus les jours d'influence. Ainsi en travaillant ici durant les jours calmes, elle pouvait rentabiliser de manière efficace les jours creux de la restauration en général.

Toutefois, même pour Inari qui avait pourtant un corps plus adapté à l'effort que les habitants lambda de la cité scolaire, la perte de ses « jours calme » représenter un certain poids et elle avait donc pris l'habitude d'aller au bain public les soirs où elle était de service au cat's.

''Et si j'invitais Chiemi ? " songeait elle tendit qu'elle finissait enfin de saluer ses collègues et la patronne ; en effet la question était ardue car la « prof » qui lui donnait ses cours particuliers pour rattraper son retard scolaire était aussi une excentrique de la pire espèce et si elle l'invitait, elle était certaine que la soirée serait tout sauf « calme » mais il restait que celle-ci était quasiment ce qu'Inari pouvait considérer comme une amie et la perspective de l'invitée n'était pas non plus si désagréable que ça.

Toutefois, avant que la Kitsune puisse se décider quant à l'invitation de Chiemi au bain publique, une situation inattendue se produisit et elle ne put s’empêcher de se remémorer la mise en garde de l'omikuji.

« Nous avons bien reçu votre message mais nous nous devons de vous faire à nouveau notre offre de paix. On sait parfaitement où et quand vous travaillez, où vous allez à l’école et même comment neutraliser votre si dangereux pouvoir, comprenez ? »

''Des problémes en perspective semblerait-il... ''

Inari fronça les sourcil tendit qu'elle écoutait avec attention les paroles prononçais par d'étranges hommes qui étaient en train d'agresser sa collègue, elle ne se souvenait plus de son nom mais elle reconnaissait la tenue qu'elle portait puisqu'elle s'était toutes les deux changer dans le vestiaire quelques minutes auparavant sans toutefois se dire un mot.

Inari réagissant immédiatement, sortit quelques charmes préparer à l'avance de son sac, elle prépara un sort qui empêchait ou plutôt influencé l'envie des personnes ignorantes de l’existence de la magie à ne pas se rendre dans certaines directions ou même à regarder dans cette direction.

Elle les plaça simplement autour d'elle vu qu'elle était au niveau de la porte d'entrée du cat's eye ; ainsi elle empêchait la patronne et les autres collègues de vouloir « quitter » l'établissement et donc de se retrouver mêlés à cette histoire et elle se prémunissait contre une éventuelle réaction des assaillants contre elle-même puisqu'ils ne « regarderaient » pas dans sa direction.

''Bon, maintenant que faire pour ses types ? " songea Inari avant de remarquer qu'il venait de sortir un revolver et de le braquer sur la jeune femme après l'avoir poussée violemment contre le mur.

Inari compris instinctivement qu'il ne se serait pas donné autant de peine à lui faire peur où lui mette un sac sur la tête ou encore à lui parler s'il voulait juste la tuer et fort heureusement ils ne donnaient pas l'impression de vouloir l'enlever non plus.

« Je sais que vous êtes jeune mais je vais vous expliquer, ce que je pointe sur vous c’est un pistolet. Si vous tentez d’enlever cette cagoule avant d’avoir compté jusqu’à 30, je tire. Compris ? »

Ils prévoyaient donc de partir comme ça, après avoir menacé allègrement l'une de ses collègues sur leur lieu de travail en toute impunité . Ils pensaient pouvoir s'enfuir en 30 secondes .

Il ne fallait pas tant que ça à Inari et n'importe quel autre mage en général pour régler le problème, mais elle ne pouvait pas non plus les agresser de manière trop frontale et juste les mettre en pièces devant le restaurant.

«  Quitte à choisir, je préfère régler ça maintenant... » murmura Inari.

Une malédiction.

Ce simple mot résumé la solution qu'avait adoptée Inari, ce n'était pas suffisamment frontale pour qu'ils le réalisent eux-mêmes et ne reviennent se venger, toutefois une malédiction se nourrissait de la force vitale de sa victime et c'est comme ça qu'elle perdurait dans le temps.

Ce n'était pas une malédiction très forte et n'importe quel mage même débutant serait capable de contrer une magie de ce niveau avant même qu'elle ne l'affecte, toutefois ce type de magie (la magie dite d'infection) figurait parmi l'une des pires magies à utiliser sur un non-initié qui n'avait aucune résistance magique ni connaissance en matière de magie et donc aucun entrainement pour contrer ou renvoyer les malédictions.

Cette malédiction avait pour effet de puiser dans l’énergie de sa victime et de l’affaiblir physiquement, la victime tomberait alors facilement malade, ne serait pas capable d'avoir des nuit de sommeil paisible et entièrement réparateur, elle serais plus sujette au cauchemar et son appétit diminuait probablement aussi avec la fatigue toutefois, elle n’empêcher pas une personne de vivre plus ou moins normalement.

Inari n'avait absolument pas l'intention de les tuer, même à petit feu et elle en avait donc limité les effets surtout qu'il s'agissait d'une malédiction lancer de manière légèrement précipité tout en étant un domaine qui n'était pas vraiment sa spécialité, la sienne étant davantage de les faire disparaître mais comme le vaudou et l'art des malédictions existait dans le shintoïsme, Inari avait suffisamment de notion pour en utiliser si besoin.

L'objectif ici était de les châtier de manière indirecte, de s'assurer de pouvoir les vaincre instantanément s'ils reposaient des problèmes en « aggravant » la malédiction et surtout de pouvoir les traquer grâce à la malédiction directement jusqu'à leur chef si vraiment la situation devenait critique.

En soi, l'adage « les meilleurs contrebandiers était les pires braconniers » ou « devenir son ennemi pour mieux le combattre » était une manière d'apprendre et de penser qui n'était pas inconnu à Inari, ainsi elle avait bien sûr étudié les malédictions existantes et comment les faire afin de devenir efficaces pour les faire disparaître.

Elle avait alors invoqué ses Kitsunebi (des sortes de petit feu follet qu'elle invoquait et contrôlée à volonté grâce à l'idol theory qu'elle tirait de ses attributs de Kitsune), puis elle avait insufflé une malédiction dans celles-ci à l'aide d'un talisman qu'elle avait altéré pour qu'il porte malheur en inversant l'idol theory normalement utilisé pour confectionner un charme (les charme étant censé apporter la bonne fortune et la protection divine).

Enfin, elle avait envoyé ses Kitsunebi maudites sur les assaillants qui ne pouvaient ni les voir (grâce au fait qu'ils étaient victimes d'un sort d'illusion), ni sentir la magie et qui n'avaient même pas conscience qu'elle était la.

Au moment où les Kitsunebi les avaient touchés, la magie les avait infecté car l'une des bases du vaudou était que la victime rentre en contact direct ou indirect (avec un cheveu ou un bout d'ongle par exemple), comme le rituel de la Ushi no koku Mairi par exemple (malédiction vaudou de base très répandue et connue même parmi les non-initiés en tant que croyance populaire ce qui la rendait particulièrement fiable et facile à utiliser et incorporer dans une idol theory).

Les Kitsunebi n'étaient fondamentalement que du mana, hors le mana existaient en toute chose et ainsi elles avaient pu rentrer et traverser les victimes "déposant" ainsi la malédiction qui les imprégnait directement dans leur corps lorsqu'elles s'étaient dissipés en fusionnant avec le mana des hôtes qui avait pris la place du mana qui constituait les Kitsunebi en tant que carburant pour nourrir la malédiction.

« Putain... » déclara la jeune fille qui avait désormais enlevé le sac après avoir visiblement bel et bien attendue les 30 secondes.

Inari qui avait fini de détruire son charme maudit qui ne lui servait plus à rien, d'enlever les talismans qui tenaient les personnes normales écartées de ce lieu et de dissiper l'illusion qui la maintenait invisible aux yeux des autres s'approcha alors de sa collègue qui était désormais assise le long du mur.

« Je ne sais pas quelle vie tu mènes mais elle doit être sacrément mouvementé pour que tu réussisses à t'attirer des ennuis dans cette ville ... » déclara Inari à sa collègue tout en lui tendant un mouchoir pour qu'elle puisse le placer sur sa blessure à la tête et essuyer le sang.

« Dans tous les cas, prend ma main et relèves-toi, si tu ne veux pas que le personnel du restaurant soit au courant de quoi que ce soit, je connais un coin un peu plus tranquille à quelques pas pour te reposer. »

Ironiquement, cette jeune fille avait eu de la chance d'être une collègue d'Inari car sinon elle ne se serait pas donné autant de mal pour elle ; elle se serait simplement contenté de vérifier qu'elle allait bien sans pour autant se soucier d'avoir à guérir sa blessure ou assurer ses arrières avec les étranges hommes qui étaient venus ce soir.

''Finalement, ma divination était juste'' pensa Inari.
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