Alex Saki (finish)

Alex Seki

« Que voulais-tu faire d'autre ? »

♣ Prénom :Alex
♣ Nom :Seki
♣ Âge :  17
♣ Sexe : Masculin
♣ Nationalité :Japonaise
♣ Groupe/Affiliation : Aucun
♣ Établissement : Eiri highschool

Alex est né d’une mère française et d’un père japonais sur le sol de l’archipel. La première était une étudiante de vingt-ans passionnée par la langue et le pays nippons, le second était le propriétaire d’une entreprise de vêtements gothic lolita, qui avait un certain fantasme pour les jeunes occidentales. Je crois que c’en est assez dit sur les origines.
Il fut assez vite décidé que l’enfant aurait pour patrie le Japon, bien qu’il garda un visage en teinte presque claire. On lui donna quelques années plus tard deux petites sœurs au physique plus proche du type japonais. L’entreprise paternelle marchait bien, et elle engrangea même des bénéfices qui lui permirent de s’agrandir. Cela aiderait plus tard Alex à payer de nombreuses fois ses amis aux distributeurs.

Il y a peu de choses à dire sur l’enfance de notre ami, tant elle fut normale. Il n’était pas timide, jouait avec les autres très jeunes enfants au foot et au baseball, lu plutôt tôt : il n’était ni plus timide ni plus sociable qu’un autre, ni plus généreux ni plus mesquin. En revanche il avait un esprit vif, une certaine acuité, et surtout, une évaluation du QI et des aptitudes intellectuelles vers 8 ans qui lui donnèrent de si bons résultat, que la tournure changea du tout au tout sa vie. Des médecins et des conseillers de tout domaine confirmèrent l’un après l’autre que l’enfant était promis au meilleur avenir si on l’envoyait étudier dans une école d’esper. S’il arrivait à tirer un potentiel de pouvoir en lui, les débouchés seraient innombrables, il ne craindrait jamais le chômage et avait même une chance bien qu’aussi infime que celle d’un ticket loto d’atteindre le prestigieux cercle des Esper de niveau 5.
Après bien des réflexions, ses parents se mirent d’accord : après tout ce serait à peine plus difficile qu’une scolarité normale, et au contraire de celles-ci le garçon serait surveillé par une équipe solide, à l’abri du bizutage et des enseignants incompétents. Seule la distance poserait un problème difficile à un si jeune âge.
La décision fut difficile pour ses parents et lui même (et un choc pour ses sœurs bien qu’âgée de 6 et 4 ans). Du côté du garçon, non seulement il n’était plus un enfant normal mais il devrait emménager dans la Cité Scolaire, une idée aussi traumatisante à un tel âge qu’un internat.

Passé la déprime et les angoisses des premiers mois, aidé par quelques visites de sa famille, Alex consolida sa confiance et son confort. Il se fit des amis, suivit les cours ponctuellement. Il ne fut pas un bourreau de travail mais un élève sans problème et d’humeur gaie. Dans l’adolescence montante, il préférait aux devoirs faire toutes sortes de sport avec ses amis, variables : basket, natation, puis des sports de combat. Les revenus généreux de son paternel lui autorisaient des moments de détente et loisirs agréables pendant les congés, et il les partageait sans se faire prier avec ses amis, dépensant souvent une boisson ou un billet pour eux. Cela et son tempérament calme, en firent un des étudiants les plus appréciés de ses camarades. Il était d’humeur très  physique, et intellectuellement il préférait le théorique que la mémorisation. Cela lui fut coûteux dans une académie où la mémoire et l’acharnement en devoir sont les meilleurs méthodes d’avancer ses capacités d’espoir. Il atteint le niveau 1 à 11 ans, et le niveau 2 à 15. Bien que Alex ne se préoccupait pas originalement de devenir quelque chose de plus que « correct » voir des amis atteindre le niveau 3, et camarades même le niveau 4, le firent complexer. Il s’interrogea sur sa lenteur de progrès, lui qui ne semblait ni pire ni mieux qu’un autre, et il en conclu qu’il manquait de volonté, et que le manque de volonté rimait avec la faiblesse. Il découvrit une certaine blessure de narcissisme en lui : il se destina à valoir au moins autant que les forts, désormais, par angoisse existentielle plutôt que par caprice adolescent.
Devinant qu’il ne pourrait faire avancer son pouvoir plus vite, facteur trop incertain, le fils des Seki décida de compenser par d’autres moyens. Il affina ses rapports avec les autres, son élégance et son sens de l’opportunité, découvrant qu’en manipulant autrui on pouvait servir ses objectifs. Il quitta la plupart des sports pour se concentrer sur un sport de combat : le Pencak Silat. S’il n’excellait pas en tant qu’Esper, il excellerait en tain qu’humain. Il voulait se dépasser, toujours plus, pour devenir aussi respectable que les autres.

D’autres événement l’affectèrent dans la cité, qui ne datent que d’il y a quelques mois mais durent déterminants. Les attentats et rumeurs d’histoires sordides se multiplièrent à un rythme alarmant. On arriva à en parler d’une menace majeur sur la cité, plusieurs parents envisageaient même de retirer leurs enfants. Par naïveté, Alex voulu jouer au héros, et ne trouvant personne pour l’accepter dans son projet fou, il se rendit seul dans la zone des skill-out. Il chercha à glaner des informations près des résidents par rapport aux rumeurs étranges de ces temps ci. Jouer le héros de shônen près de ces morveux ne lui porta pas change, son courage et son pouvoir ne lui permit que de survivre contre une horde de skill-out nerveux et agressif… avec bien des blessures. Blessé dans son orgueil, il revint plus tard, défier au combat d’autres skill-out. Il en ressorti de nouveau perdant et salement amoché, car les adversaires en ces lieux, même battus, reviennent comme des mouches.
Au moins il gagna quelque chose de ces expériences (en plus de quelques cicatrices). Revenchard, il se jura de ne plus jamais perdre, ou de toujours perdre avec dignité. Une sorte de décharge électrique c’était produit en lui : dorénavant il progresserait plus vite.

Du côté de l’en dehors de la cité ça ne se passait pas non plus extrêmement bien. Le dernier été, il découvrit que l’ainée de ses sœurs, Aika, agée de 14 ans, se comportait bizarrement. Elle était beaucoup trop tactile, beaucoup trop collante. Il se demanda si le fait de ne plus la voir que quelques fois par an depuis qu’elle était toute petite et l’âge où les hormones lui travaillaient n’étaient pas la cause de tout cela, mais ce n’était pas suffisant pour le soulager. Lorsqu’elle tenta un véritable flirt physique, Alex en fut traumatisé et écourta les vacances pour un prétexte fallacieux.

De retour, il avait mûri en repensant à toutes ces dernières années et derniers mois. Il avait entendu parler par des niveaux supérieurs de rumeurs sur des groupes clandestins. Il fallait qu’il trouve sa place, qu’il monte en influence, qu’il devienne quelqu’un ou d’important, ou de fort. La clé du jeune Seki était là

♣ Pseudo : vhdvdkbjdk
♣ Âge :24
♣ Depuis combien de temps faites-vous du rp :je sais plus, des années
♣ Présence sur 7 jours :3
♣ Comment avez-vous connu le forum ? Questions de Stasi Oo je plaisante, j’ai fait une recherche:p
♣ Mot de passe :[/b][Validé]